Un mois de mars que je pensais très (trop) calme et qui finalement s’avère être ludiquement riche grâce à des nouveautés et des jeux qu’on aime ressortir.

Sans plus attendre, voici la liste !

Wondrous Creatures (3 parties)

Les copains l’avaient découvert à Cannes, et de mon côté c’est avec 3 parties que j’ai pu dompter la bête ce mois-ci. Je dois admettre que je n’ai pas arrêté d’y penser.

L’envie de découvrir les cartes, leurs illustrations, leurs pouvoirs, leurs petits noms tout mignon, n’a fait qu’augmenter au fil des jours. Et je ne suis pas encore repu de cette découverte, certes familiale, mais tellement gourmande.

Pour rappel, Wondrous Creatures est un jeu compétitif qui propose aux joueurs de collectionner les créatures les plus magnifiques qui soient ! Heureusement on ne marque pas de points sur leur beauté (trop subjectif) mais plutôt grâce à leurs caractéristiques et l’accomplissement d’objectifs. Pour cela, à votre tour, vous choisirez une action parmi celles-ci :

• Placer une figurine sur le plateau (monture sans chef ou monture avec chef) pour récupérer des cartes de la rivière et / ou des ressources. Le chef peut vous donner un pouvoir asymétrique s’il est débloqué (grâce au premier objectif validé)
• Jouer jusqu’à deux cartes : payer le coût des cartes pour les jouer. Les créatures sont de 5 types: pouvoir permanent, PV de fin de partie, bonus immédiat, bonus quand vous passez, pouvoir à déclencher X fois … Elles ont aussi plusieurs type d’habitats, plusieurs familles (poisson, insecte…) etc
• Valider un objectif : ce qui vous donne un trophée + un bonus que vous choisissez.
• Passer : pour récupérer vos figurines, faire avancer le sablier (et gagner le bonus : comme un filet), …

On peut aussi faire des actions « gratuites » comme utiliser un filet pour obtenir des oeufs à faire éclore, …

Lorsque le dernier trophée est récupéré, les autres joueurs jouent encore une fois avant de déclarer la fin de la partie.

Les règles s’expliquent très vite et le jeu propose une certaine profondeur qui ne déplaira pas aux gamers. Et cette profondeur met justement en valeur l’ensemble du jeu : le jeu est beau, la mécanique, sans être non plus très originale, a quelques twists sympas, les cartes sont assez différentes pour en apprécier leur diversité, …

Quand les gamers ont peu de temps devant eux, qu’ils sont fatigués par leur journée éreintante, ils peuvent jouer à Wondrous Creatures et y trouver un plaisir visuel comme cérébral.

La course aux objectifs, qui accélèrent la partie, donne de la tension aux joueurs. Et il y a même des trophées à récupérer sur la piste de PV… Attention à ne pas trop trainer sur les trophées au risque de voir la partie s’éterniser avec de gros scores. Car je peux vous garantir que si les joueurs perdent de vue les objectifs, ça devient une ballade en forêt plus qu’une chasse aux Pokémons !

D’ailleurs, note spéciale pour la traduction des cartes et des petits noms de créatures.

Bref, tout est soigné, bien fait, épuré, avec une profondeur intermédiaire pas déplaisante.

En gros, un vrai bonheur ce jeu ! J’attends les extensions avec impatience (prévues pour Juin-Juillet) pour satisfaire encore plus mon cœur de gamer.

Je complète cet avis avec le parallèle Ark Nova. Personnellement, je trouve qu’ils n’ont rien de comparable si ce n’est le plaisir ludique de ce frisson qui traverse le corps quand vous réussissez de belles combos (frisson léger pour Wondrous Creatures, frisson extrême pour Ark Nova). L’ambiance est donc la même mais la profondeur et les mécaniques sont totalement différentes.

1–4 joueurs, 14 ans et +, 40–80 Min
Complexité: 3.04 / 5
Auteur: Yeom.C.W
Illustratrice: Sophia Kang
Editeur: Bad Comet

Disponible dans nos boutiques partenaires à partir de mi mars 2025 : Ludum, Philibert, Play In, Esprit Jeu

Spark Riders 3000 (1 partie)

Je n’aime pas les jeux coop et je ne suis pas attirée par les jeux hybrides (plateau + application mobile). Ca partait donc très mal.

Ce qui m’a fait accepter cette boite (gratuite), c’est le thème (et l’enthousiasme de l’éditeur). Parce que le ciel et le spatial ont toujours fait partie de ma vie. (et je n’aime pas l’eau hihi)

Du coup, je me suis lancée, en solo, dans une mission contre les aliens ! Oui, y a que les cons qui changent pas d’avis 🙂

Spark Riders 3000 vous propose de gérer les membres d’un équipage d’un vaisseau à qui il va arriver tout un tas d’aventures au sein des missions proposées par l’application mobile (1 partie = 1 mission). Il y a deux phases dans une manche :

• La phase Aliens (oui, ce n’est pas de tout repos et les aliens ne sont pas des alliés… une artillerie lourde sera nécessaire pour en arriver à bout. Durant cette étape, heureusement on peut riposter / se défendre)
• La phase d’actions pour chacun des membres de l’équipage

Après avoir lu les règles et installé le jeu, l’application vous met tout de suite dans le bain : « ne me décevez pas ». On sent que ce ne sera pas de tout repos !

Je ne vais pas vous cacher que les débuts ont été compliqués. Compliqués parce que j’ai mis du temps à assimiler les règles (probablement à cause de la fatigue et ce côté solo que je n’aime pas trop).

Mais … une fois les règles assimilées (en 3 manches), plusieurs choses font que la magie opère :

• L’application donne du mordant à la partie (il y a des événements, comme des pirates de l’espace qui veulent voler votre cargaison… et Iris, l’IA, nous tient informés des résultats des jets de dés, nous met en communication avec des PNJ, nous donne des choix, nous informe de l’avancée de la mission, nous conseille…). Et puis, cerise sur le gâteau, on parle à l’application, si si !!!)
• On se prend au jeu des missions et les rencontres apportent moultes rebondissements
• On a envie de se venger des aliens qui ont détruit une partie du vaisseau ! ! On se surprend à les insulter et à mettre la pression à son propre équipage (« toi, t’es le pilote, tu vas PILOTER bordel » je parlais toute seule, enragée par les attaques… et souvent on entend Iris répondre : je n’ai pas compris votre demande lol)
• J’ai adoré les choix d’actions et les dilemmes qui nous poussent à qualifier chaque possibilité
• J’adore l’upgrade des membres d’équipage avec les objets et l’équipement

Evidemment, il y a quelques éléments qui m’ont moins plu :

• des bugs applicatifs (rien de grave, mais à la première partie, ça déboussole un peu), j’ai transmis mes notes à l’éditeur (déformation professionnelle)
• il y a beaucoup de manipulations de matériel (forcément, j’ai joué en solo ! Heureusement que je n’ai pas fait ma prétentieuse avec 4 membres d’équipage. Deux suffisaient à écraser les aliens…. en mode ……. débutant => oui bon… on ne se moque pas)
• Les règles ne sont pas simples à retenir, mais je pense que la fatigue y était pour beaucoup quand même. Surtout qu’il faut prononcer des phrases « imposées » dont il faut se souvenir (ça aide à l’immersion, mais ce n’est pas obligatoire)

En conclusion, et c’est ce qui compte, est ce que je vais y rejouer ? oui, et quand je serai seule. Car même s’il est écrit dans les règles qu’il faut communiquer et se coordonner, et bien quand on joue seul(e), la coordination marche très bien et puis, je l’avoue, mes autres personnalités ont su communiquer entre elles :p

Donc oui, j’y rejouerai. Mais pourquoi ? Déjà parce que j’ai bien aimé mais surtout je veux lancer les autres missions, pour accompagner mon équipage. J’admets aussi être intriguée par le rapport application / matériel (d’une classe folle d’ailleurs). A quel point un même matériel peut servir à plusieurs missions sans que ça devienne répétitif, car sans réelle découverte matérielle, comment faire évoluer le jeu ? J’aurai adoré un jeu comme ça en legacy où on ouvre des boites façon calendriers de l’avent, etc…  Mais ce n’est pas un legacy, et mécaniquement ça ne réinvente rien, donc vous voyez ça partait très mal non? Sauf que l’application porte le jeu, elle le remplit, avec tout un tas de missions et d’interventions surprises (comme les rencontres). On se laisse embarquer et la tension monte à cause des attaques d’aliens qui prennent de plus en plus d’importance. Bref, c’est ça que j’ai envie de découvrir : la suite ! Le pari est donc gagné pour l’éditeur qui propose actuellement une extension sur gamefound.

1–4 joueurs, 10 ans et +, 60–90 Min
Complexité BGG : 1.75 / 5Complexity Rating
Auteur: Louis Clerc
Illustrateurs: Logan Chaix, Guillaume Lucbert, Raphaël Minette
Editeur: Arkada Studio

VF disponible chez nos boutiques partenaires: Ludum (moins cher si abonné), Philibert, PlayIn, Esprit Jeu

 

Beyond The Horizon (1 partie)

Pour rappel, lors de notre Essen à la maison, la team Sud avait conclu la partie sur une note un peu mitigée à cause de deux éléments : la lisibilité et une ressemblance trop prononcée à Beyond the Sun.

Et j’ai fini par demander à la team si ça les tentait de rejouer pour me faire découvrir. On a donc sorti le jeu lors d’un week-end jeux riche en euro games 🙂

Et force est de constater que,

• oui il fait doublon avec Beyond The Sun (assurément). Mécaniques identiques, actions quasi identiques. Seul le thème et quelques éléments changent.

• oui, on voit extrêmement mal les rôles des pions (soldats ou colons) donc la lisibilité (l’édition) va devoir être corrigée par des impressions 3D comme celle-ci : (si on imprime des supports rouges pour les soldats, et blancs pour les colons , on devrait pouvoir faire la différence plus facilement et en plus, ils ne tomberont plus ! ). Car avec les pions originaux, faut pas trembler quand vous manipulez vos pions.

MAISSSSS j’ai pris un énorme plaisir à jouer pour plusieurs raisons :

• j’étais au courant des défauts
• l’arbre de technologie commun à tous est une mécanique très intéressante : vous démarrez tous avec des actions de base (placement d’ouvriers). Et pour avoir des actions plus intéressantes, voire de nouvelles actions, il faudra développer des technologies que l’on place sur une sorte d’arbre. Tout ceux qui ont découvert la technologie peuvent profiter de son action (si elle n’est pas déjà prise par quelqu’un). Et les technologies sont liées entre elles par la couleur et le niveau : il faut avoir développé les technologies de niveau 1 liées à la technologie de niveau 2 pour pouvoir développer cette dernière. Et la couleur dépendra du niveau précédent. A chaque couleur ses caractéristiques.
• La tension et le timing de la pose d’ouvriers sont aussi plaisants que dans tout type de jeux de placement d’ouvriers. La rareté de certaines actions rendent le timing éprouvant (il faudra que la place soit libre à votre tour pour pouvoir l’occuper et faire l’action correspondante. Autant vous dire qu’à 4, c’est la guerre sur les emplacements)
• J’ai beaucoup aimé les tuiles hexagonales pour l’exploration, la colonisation, la fortification, ainsi que les bâtiments donnés par le développement d’une des pistes de production (ces bâtiments, une fois construits par un joueur, peuvent être partagé avec un autre joueur, premier arrivé / premier servi). Sur ces éléments là, Beyond the Horizon est plus riche en possibilités. Ici, personne ne peut vous déloger. Alors que dans Beyond The Sun vous pouvez perdre le contrôle d’une planète.
• On ne joue pas dans son coin : on surveille les actions des autres (on s’adapte selon les emplacements volés lol), on surveille les forces des colons et soldats adverses pour bien timer les colonisations et les fortifications.
• La fin de partie sonne la panique générale sur la dernière action à optimiser.

On retrouve donc les mêmes qualités que sur Beyond The Sun. Alors, ceux qui aiment ce dernier vont aimer Beyond the Horizon. Ce sont les mêmes jeux avec quelques différences : si vous préférez des interactions directes (contrôle de territoires) jouez à Beyond The Sun, si vous êtes plutôt interactions indirectes, jouez à Beyond The Horizon.

Conclusion, je trouve Beyond the Horizon plus riche que Beyond The Sun. Quant à ma préférence, il faudra attendre que j’ai joué plusieurs parties de Beyond The Horizon et que j’ai rejoué à Beyond the Sun pour mieux les comparer en sensation. Je pense aimer les deux au final, mais seul l’avenir nous le dira.

A la question : ai-je envie d’y rejouer ? TRES envie !

2–4 joueurs, 14 ans et +, 90–120 Min
Complexité BGG : 4.00 / 5
Auteurs: Dennis K. Chan, Adam Hill, Ben Pinchback, Matt Riddle
Illustrateurs: Agnieszka Dabrowiecka, Klemens Franz
Editeur: Cranio Creations (VF par Super Meeple qui m’a offert la boite)

VF disponible dans nos boutiques partenaires: Ludum (moins cher si abonné), Philibert, PlayIn, Esprit Jeu

Les jeux rejoués (Civolution, SETI, Evacuation, Rats of Wistar)

Civolution

4ème partie de Civolution et je peux vous dire que c’est la guerre sur TOUT : les objectifs, les événements, … On commence à maitriser le jeu et même avec ça, on se rend compte que les dés font péter le déroulé de notre stratégie ! Et on n’a pas toujours les cartes qu’on voudrait, ce qui accentue le challenge.

J’adore mes parties régulières à 2. Vraiment. On connait très bien les règles et pourtant le jeu nous donne encore du fil à retordre. On peut pas dire que thématiquement ça déchire, mais mécaniquement, on se régale car tout tient à un fil (événements, majorités, ligne complète de cartes, objectifs,…) et ce n’est jamais la même chose d’une partie à une autre. C’est ça qui rend le jeu très rejouable aussi, aucune partie ne se ressemble, même si j’ai tendance à jouer la même chose (car j’adore l’exploration).

Lors de mes parties de Janvier, je disais « roh la la, l’aléatoire va aider certains joueurs et pas d’autres » et bien on arrive quand même à se dépatouiller. Le jeu force le joueur à s’adapter (et ça ne plait pas toujours) mais moi j’adhère complètement à cette obligation.

Le jeu devient très agréable à jouer pour peu qu’on lui laisse une chance après les deux premières parties. Ca vaut la peine de souffrir sur les premières parties lol

Pour rappel, Civolution est un jeu de dés où chaque paire va permettre de faire une action (plus de 20 actions possibles donc). Les possibilités sont immenses.

1–4 joueurs, 14 ans et +, 90–180 Min
Complexité BGG : 4.14 / 5
Auteur: Stefan Feld
Illustrateur: Dennis Lohausen
Editeur: Deep Print Games (VF par Matagot)

VF le 4 avril 2025 chez Ludum (moins cher si abonné), Philibert, PlayIn, Esprit Jeu

 

SETI

Ce n’est pas un secret, il s’agit d’un des meilleurs euro games de ces derniers mois. Et cette dixième partie le confirme.

Et malgré avoir eu les deux aliens qu’on aimait le moins, nous avons toujours cette sorte d’admiration pour le travail de l’éditeur et de l’auteur. Evidemment, nous sommes dans l’attente d’une annonce prochaine sur les détails de la future extension 🙂

Article dédié à ce jeu extra ordinaire !

1–4 joueurs, 13 ans et +, 40–160 Min
Complexité : 4.00 / 5
Auteur: Tomáš Holek
Illustrateurs: Ondřej Hrdina, Oto Kandera, Jiří Kůs, Jakub Lang + 7 more
Editeur: Czech Games Edition (Iello pour la VF)

VF de SETI disponible chez nos boutiques partenaire chez Ludum (moins cher si abonné), Philibert, Play In, Esprit Jeu

Evacuation

J’y avais joué à l’Alchimie (vous pouvez voir l’article avec des détails sur les mécaniques ici)

Cette 3ème partie a été révélatrice. J’adore ce jeu. J’y aime tout : le thème, la mécanique, l’idée des ressources sur l’ancien monde et celles sur le nouveau monde, les « satellites » qui se déplacent et représentent notre progrès, …

Par contre, l’édition est à pleurer. Rien n’aide à la fluidité (il y a de tout partout), les micros règles pourrissent la partie, l’iconographie n’est pas terrible, en plus de toujours se poser la question des coûts ou de la gratuité quand on gagne qq chose.

Deux joueurs ont terminé leurs trois cartes objectifs, ils ont aussi pu rapatrier tout le monde (non sans mal). Ils se disent donc qu’ils ne pourront pas faire mieux la prochaine fois, alors que moi je n’y arrive pas. Ils font tous 2 à 3 actions de plus que moi dans chacune des 2 à 3 dernières manches (sur 4) pendant que moi je lutte (c’est pas anormal, je suis pas une super joueuse, mais là l’écart est énorme). Comme je kiffe le jeu, ce n’est pas grave, mais là je n’ai plus personne pour y jouer lol

On a soupçonné quelques erreurs dans les dépenses de ressources : il faut les prendre sur l’ancien monde pour une action sur ancien monde, et pareil pour le nouveau monde. Et à un moment donné, l’énergie est à prendre uniquement sur le nouveau monde pour faire des actions. Donc là encore l’édition embrouille les joueurs. Sans compter aussi que sur l’iconographie, on croit gagner une ressource mais en fait, c’est de la production (et cette ressource n’arrive QUE lors de la prochaine manche, à la phase de production).D’ailleurs, chaque nouvelle action, après la seconde action, est payante et de plus en plus chère, on n’est pas habitué à déplacer un jeton pour connaitre le coût de l’action supplémentaire à son tour. Dans tous les autres euro game, on joue une action. POINT. J’aurai préféré que l’on paye tous une énergie pour jouer 1 action et basta (ou autre chose).

On ne peut pas être derrière chaque joueur pour éviter les erreurs, je m’inclus hein, j’ai du certainement me gourrer mais du coup, ça aide pas à apprécier la partie. Le plus dur c’est que je peux pas le sortir régulièrement, donc si à chaque fois on se heurte à des erreurs, à des problèmes d’édition, etc… il finira au fin fond de la ludothèque.

Je suis donc un peu déçue sur cette 3ème partie, à cause UNIQUEMENT de l’édition, qui plombe le jeu avec une idée originale, un thème bien exploité et une expérience ludique très bonne. Le jeu devrait être repensé pour lui laisser chance de rester dans les ludothèques. 

Envie rejouer ? Oui à deux, où chacun connait les règles.

1–4 joueurs, 12 ans et +, 60–150 Min
Editeur: Vladimír Suchý
Illustrateur: Michal Peichl
Editeur: Delicious Games (VF chez Intrafin)

Disponible chez Philibert, chez Ludum, chez Play In, chez Esprit Jeu

Les Rats de Wistar

Depuis Octobre, les nouveautés s’enchainent et c’est avec grand plaisir que j’ai fait découvrir le jeu à l’un d’entre nous, et sur demande ! Je n’ai même pas forcé :p

Les règles sont revenues très vite, une iconographie qu’on connait un peu dense et maladroite mais ce jeu est entré dans mon top 15. Après plus d’un an, j’ai toujours envie d’y rejouer !

Ce week-end, d’ailleurs, j’ai joué ma treizième partie, et je suis toujours aussi contente de retrouver mes rats. D’ailleurs, une partie catastrophique pour moi, je ne suis pas habituée à jouer à 4 et j’ai fait des erreurs fatales de placement ! Comme quoi, chaque partie est différente. Et les rats seront toujours les bienvenus à ma table. Ceux de Wistar, hein.

Article dédié à ce jeu extra ordinaire, à lire et relire, sans modération 🙂

 

1–4 joueurs, 13 ans et +, 90 Min
Complexité BGG : 3.00 / 5
Auteurs: Simone Luciani, Danilo Sabia
Illustratrices: Candida Corsi, Sara Valentino
Editeur: Cranio Creations (en VF chez Intrafin)

VF Disponible chez nous boutiques partenaires : Ludum (moins cher si vous êtes abonnés), Philibert , Esprit Jeu, Play In

Au mois d’Avril

Au mois d’Avril, je commence à bosser sur le prochain projet 3D ludique. Je vous en dirai plus d’ici quelques semaines.

Le mois prochain je vous parlerai aussi de Magicarta dont nous avons déjà fait 3 parties, j’en laisse un peu pour les autres articles 🙂

Et j’espère rejouer à Bricolage Heads, Beyond the Horizon et Shackleton Base puis je voudrai découvrir Medical Mysteries (qui sort le 11 avril) et Creature Caravan.

Rien que ça… Programme chargé.