Coups de coeur du mois de Septembre 2018

les coups de coeur de la Team GeekLette sont autant de découvertes que d’anciens jeux qui refont surface, selon ce à quoi on joue etc

Coup de coeur de GeekLette : Seeders from Sereis: Exodus

J’ai pris une claque… non non, j’ai gagné mais j’ai pris ce qu’on appelle une claque ludique. Le même effet ressenti pour Anachrony c’est pour dire !

Exodus est le 1er jeu d’une saga, d’un univers riche aux propriétés ludiques aiguisées. Dans ce 1er épisode, un peu violent autant le dire, on va créer ses propres vaisseaux avec modules et équipages. Ces modules et équipages seront durement gagnés par vos négociateurs (avec un système de placement d’ouvriers que personnellement j’adore). Et si vos négociateurs perdent, rassurez-vous, ils apprennent de leurs erreurs et auront plus de poids au tour suivant… D’ailleurs, il n’y a que 4 tours… c’est TELLEMENT court !

Ces 4 tours sont divisés en 2 phases principales :

  • Phase de négociation (durant laquelle vous allez récupérer des cartes)
  • Phase d’actions (durant laquelle vous allez jouer vos cartes)

Mais les cartes sont TOUTES nécessaires, vous avez envie de toutes les prendre ! Mais vos adversaires aussi!

Le cœur de la mécanique n’est donc pas du placement d’ouvriers mais bien de la combo de cartes.

Moi qui n’aime pas particulièrement les jeux à combo, je commence à en aimer certains et ça me fait m’interroger. Est-ce que les jeux de plateaux sans trop de cartes sont moins riches que les jeux proposés avec des cartes à faire combotter (comme terraforming mars ou même Exodus) ?

Bref, toujours est-il que Exodus est excellent jeu expert qui mérite qu’on s’y arrête, surtout que l’univers est hyper attrayant.

Le second épisode (2nd jeu), lui, se concentre sur le placement d’ouvriers. J’irai y faire un petit tour à Essen 🙂

Coup de coeur de Mr NeiL: Les Pilliers de la terre

Un jeu de Michael Rieneck, Stefan Stadler, illustré par Michael Menzel, édité par Filosofia, Kosmos (2007). Réédité par Iello (2017)
2-4 joueurs – à partir de 12 ans – Durée 60 à 90 min

Premier jeu de la trilogie tiré des romans de Ken Follett, en effet il viendra par la suite Un monde sans fin et Une colonne de feu. Ce premier opus nous plonge en Angleterre et nous devons contribuer à la construction de la Cathédrale de Kingsbridge, en utilisant nos bâtisseurs, artisans, ouvriers, en utilisant et en transformant de l’or et des ressources (bois, pierre, sable, métal) en points de victoire.

Le jeu se joue en 6 tours, chaque tour est décomposé en deux phases.

  • Dans la première phase, les joueurs placent leurs ouvriers sur le plateau de jeu et recrutent des artisans. Pour se faire nous avons une rivière de carte composée de 2 cartes d’artisans et 7 cartes de production de ressource, que les joueurs choisissent une à une, l’un après l’autre. Les ouvriers produisent de l’or ou des ressources, que les artisans les transforment plus tard en points de victoire.
  • Dans la deuxième phase, les joueurs placent leurs Maitre d’Oeuvres aux endroits stratégiques du plateau qui offrent des possibilités d’action en nombre limité, mais pour cela vous allez devoir payer, ou passer si vous n’avez pas assez d’argent quitte a vous faire prendre la place par votre adversaire.

Ensuite, les joueurs réalisent les actions où sont présents les ouvriers, mais selon la numérotation indiquée sur le plateau :

  1. Lecture d’une carte événement aléatoire, positive ou négative.
  2. Un joueur correspondant peut échapper à l’événement aléatoire s’il le souhaite. Les autres le subissent d’office.
  3. Gain d’or.
  4. Gain de personnages offrant des pouvoirs spéciaux temporaires ou permanents.
  5. Gain de points de victoire.
  6. Production de bois.
  7. Production de pierre.
  8. Production de sable.
  9. Production de métal et prélèvement d’impôts.
  10. Recrutement d’artisans supplémentaires.
  11. Recrutement temporaire d’ouvriers supplémentaires.
  12. Achats et ventes de ressources au marché.
  13. Utilisation des artisans et ajout d’un bloc à la cathédrale.
  14. Attribution du rôle de premier joueur au prochain tour.

À la fin de cette étape nous allons marquer les points en fonction des ouvriers présent chez nous, ils sont limités a 5 (6 si nous avons recruté un personnage spécial), pour ce faire nous allons par exemple échanger 3 pierres contre 1 pts, et plus le jeu avance, plus les ouvriers sont puissants, soit ils vous rapportent plus de points, soit ils vous permettent de faire l’action plusieurs fois.

Après 1 partie, le jeu tourne tout seul, à 2 joueurs en 45 minutes la partie est terminée. Il y a une belle re jouabilité, le jeu est beau, et loin d’être si facile que ça dans les choix à faire, est-ce que je recrute tel ou tel ouvrier/personnage, est-ce que je paie pour faire l’action ou je laisse mon adversaire faire sachant qu’au prochain tour une action me coûtera moins cher.

J’ai acheté ce jeu sur les différentes critiques lues à droite et à gauche, et je dois dire que je ne le regrette pas. Une bonne pioche !!!!

 

Coup de coeur de Lian : Brass Birmingham (2 à 4 joueurs, 14 ans et +, 60 à 120 minutes)

Auteurs : Martin Wallace, Matt Tolman, et Gavan Brown, Illustrateurs : Damien Mammoliti, Davidi Forest et Lina Cossette, Editeur : Roxley Games

Brass Lancashire (ou tout simplement Brass), est un jeu de gestion de Martin Wallace sorti en 2007 pour sa première édition. Excellent jeu s’il en ai, il faut bien admettre que son édition aurait gagné à être plus qualitative. C’est ainsi que Roxley Games a lancé une campagne Kickstarter l’an dernier pour rééditer le jeu de base, mais aussi une autre version du jeu, Brass Birmingham, toujours chapeauté par monsieur Wallace, mais intégrant de nouveaux concepts ainsi qu’une nouvelle carte sur laquelle revivre la révolution industrielle britannique. On se retrouve donc avec un diptyque extrêmement bien édité, avec un matériel magnifique, des illustrations magnifiques, un livret de règles magnifique, des jetons de pokers pour l’édition deluxe magnifiques,… Bref tout est magnifique que ce soit du côté de Lancashire ou Birmingham ! Et mon coup de cœur va sur Brass Birmingham, … Tout simplement car je n’ai pas encore pu essayer Brass Lancashire pour l’instant car je pense que les deux versions seraient ex-æquo  !

Dans Brass Birmingham, vous allez incarner un magnat de l’industrie lors de la révolution industrielle dans la région de Birmingham. Il s’agit plutôt d’un « gros jeu » mais qui, une fois la première partie jouée, s’avère assez simple pour ce qui est de ses règles. Vous allez ainsi développer votre empire durant deux ères, l’ère du canal et l’ère du rail, à l’issue desquelles vous allez gagner des points en fonction des industries que vous aurez développées et de votre réseau de transport. Durant votre tour vous allez faire exactement deux actions parmi: placer une industrie, développer votre réseau, vendre, demander un prêt, développer, ou prendre des cartes joker. Je ne vais pas rentrer dans le détail de chaque action, les règles, assez denses, sont là pour ça, mais sachez qu’à chaque fois que vous allez effectuer une action, vous allez vous défausser d’une carte de votre main. Celle-ci n’a que peu d’importance, sauf pour l’action « placer une industrie », qui vous obligera à vous défausser d’une carte correspondant à l’industrie en question ou à la ville sur laquelle vous comptez la placer. Les tours s’enchaînent ainsi, jusqu’à ce que les joueurs aient épuisés le deck de cartes ainsi que  leur main. On passe ainsi à la phase de score durant laquelle vous allez gagner des points en fonction de ce qui est adjacent à vos canaux/rails, ainsi qu’en fonction des industries que vous aurez vendues (comprenez, retournée sur la face bicolore).
La grande différence avec Brass Lancashire réside dans l’action vente. Ici, plus un seul mais trois types d’industries peuvent être vendus. Par contre, pas d’histoire de marché extérieur : pour vendre vous devez être reliés à un marché, mais vous allez devoir consommer de la bière. C’est justement la seconde différence majeure avec le titre initial : il y a ici une nouvelle ressource, cruciale, qui va déterminer l’action de vente, elle aussi cruciale, pour gagner des points.

Brass Birmingham est donc un jeu extrêmement complet, et ces quelques lignes peinent à lui rendre justice. La profondeur de gestion économique à chaque partie est bluffante, et la gestion de son réseau de transport de marchandises va vous griller quelques neurones ! C’est très engageant, peut-être effrayant à la première partie, mais une fois qu’on à mis le doigt dans l’engrenage, impossible d’en ressortir : vous allez avoir envie d’y jouer et d’y rejouer une fois chaque partie finie ! Et contrairement à ce qu’on pourrait penser le jeu n’est pas si long : une fois les règles assimilées, on se trouve autour de 1h à 1h30 pour 3 joueurs, ce qui est une prouesse pour un titre si exigeant ! Bref, si les jeux de développement et de gestion sont votre credo, n’hésitez pas à essayer Brass Birmingham (et Lancashire aussi 🙂 ), car, comme dirait l’autre, son ramage se rapporte totalement à son plumage !

Coup de coeur de BDPhilou: Clank

1 à 4 joueurs / 40 minutes

Un jeu de Paul Dennen

Illustré par : Raul Ramos (entre autres) / Pas de noms d’illustrateurs sur la boite ☹

Renegade / OriGames

Ce mois-ci, le jeu auquel j’ai le plus joué c’est Clank ! Ce qui est étonnant, c’est que ce jeu faisait partie de cette catégorie assez étrange : Les jeux que j’achète et auxquels je ne trouve jamais le temps de jouer. Du coup, la boite est restée dans son cellophane deux bons mois avant que je me décide enfin à l’ouvrir. Comme tout bon jeu de Deck Bluiding qui se respecte, la boite renferme 180 cartes (logique !) mais aussi et surtout : un grand plateau recto/verso ! Divers pions et un joli sac viennent compléter ce matos très attrayant et très réussi graphiquement.

Comment ça marche :

Le plateau représente les divers chemins que pourront emprunter les joueurs pour aller dans les bas-fonds d’un château fort afin d’y remonter des trésors et -SURTOUT- l’un des artefacts enfouis. Plus ce dernier est en profondeur, plus il rapportera de points… mais plus il sera difficile de s’en sortir vivant. En effet, j’ai oublié de vous mentionner que ce lieu abrite un hôte peu commode : Un dragon endormi ! Plus les joueurs gagneront des artefacts ou feront du bruit (les fameux « Clank ! »), plus le Dragon se réveillera de très mauvais poil en crachant du feu un peu au hasard sur les pauvres aventuriers encore présents dans le château. Comme dans tout bon Deck Building, vous avez une main de départ et vous aurez l’occasion de l’améliorer afin d’avoir toujours plus d’opportunités en cours de partie. Ces cartes vous permettent de :

  • Collecter de l’expérience (Indispensable pour acheter de nouvelles cartes),
  • Obtenir des déplacements pour faire évoluer votre figurine dans les méandres du château,
  • Obtenir des points de combat pour réduire en miettes divers habitants hostiles du château,
  • Obtenir de l’Or pour acheter de précieux objets,
  • Faire du bruit (hélas !!!) avec des Clank ! On place des cubes de sa couleur qui seront par la suite mélangés dans un sac. Ceci augmente de manière significative la probabilité que le Dragon vous prenne pour cible lorsqu’il crachera ses flammes. En effet, dès que celui-ci s’énerve, on pioche des cubes de couleur dans ce sac. Chaque cube ainsi récupéré inflige une blessure au joueur de même couleur !

A son tour, et à condition d’en payer le prix, le joueur peut toujours acquérir de cartes communes à tous ou des cartes plus rares présentent sur une rivière dédiée.

Les tours sont très fluides. A chaque partie, on est tenté d’aller chercher l’Artéfact le plus profond à ses risques et péril.

Mon avis : Je suis un grand fan de Dominon ! Il s’agit clairement d’un jeu de Deck Bluilding qui n’a jamais été égalé selon moi. Cependant, je lui reconnais volontiers un défaut : Il n’est pas « fun ». L’ambiance autour de la table est très studieuse… mais quel jeu ! Je pense que ce qui m’a justement beaucoup plu dans Clank ! c’est son côté beaucoup plus « funky ». En effet, entre l’entêtement de certains à prendre tous les risques possibles pour remonter les artefacts les plus précieux et le comportement d’autres joueurs nettement plus frileux qui veulent remonter le plus vite possible, l’ambiance autour de la table est bien là ! Elle atteint même toute sa tension lors du tirage des fameux cubes du sac. A cela s’ajoute 2 autres points fort :

  • Le 1er est la disponibilité gratuite d’une appli permettant de jouer seule et qui est VRAIMENT très plaisante à pratiquer (En V.O. uniquement au moment où j’écris ces lignes mais rien d’insurmontable)
  • La 2ème et que Renegade n’hésite pas à étoffer sa gamme autour de ce jeu. Une 1ère extension intitulée « Trésors engloutis » est déjà parue et une nouvelle intitulée « La Malédiction de la Momie » sort courant octobre 2018. A chaque fois des nouvelles cartes (évidement) MAIS SURTOUT un nouveau plateau et de nouvelles idées mécaniques. De quoi assurer le renouvellement de vos parties si vous le souhaitez. Les plus accros pourront même se tourner vers « Clank dans l’espace » : un Stand Alone offrant un plateau modulable !

Bref, même si mon esprit têtu continue à adorer Dominion, je dois bien admettre que j’ai trouvé en Clank ! une belle bouffée d’air frais. Enfin un Deck Building qui n’oublie pas que la base d’un jeu est avant tout de passer bon moment entre amis. Une réelle belle surprise pour moi donc et un jeu auquel je n’ai pas fini de jouer !

Coup de coeur de Cilou: Arboretum 

Arboretum est sorti en 2015, à l’époque édité par Filosofia ! Comme souvent j’étais passée complètement à côté ! Pour tous vous dire début septembre, j’ai échangé quelques jeux qui ne sortaient plus chez moi contre d’autres jeux qui encombraient les étagères d’un autre ludopathe !

C’est donc par hasard que j’ai ouvert la boite d’arboretum ! Là encore j’avais des préjugés en voyant la petite boite et le contenu plein de petites cartes arbres ! Le dessin, le matériel bien que très jolis me faisaient penser à un jeu assez léger ! Grave erreur ! Les règles du jeu sont extrêmement simples mais on se rend très rapidement compte qu’il va falloir optimiser et du coup extrêmement brise neurone (dans le bon sens du terme) et donc j’adore !

Chaque joueur a 7 cartes. A son tour, c’est simple, on pioche 2 cartes ! On peut prendre au choix une des cartes de la pioche du milieu (face cachée) ou la carte visible en haut d’une des défausses adverses ! On en pause une devant soi et on en jette une ! Fin du tour !

Hyper simple ! Mais tout le sel du jeu est dans le décompte final !

Premier point, on ne compte ses sentiers d’arbres que si on a la majoritaire de cet arbre dans la main ! De plus pour compter, un sentier commence par l’arbre de la couleur donnée et finit par l’arbre de la dite couleur sachant qu’au milieu toutes les cartes doivent aller de façon croissante ! Sinon c’est zéro ! Rajoutez à ça des points de bonus pour les grands sentiers, d’autres si ils sont de la même couleur, secouez… c’est arboretum !

Des dilemmes à prévoir (poser ou garder), un placement des cartes qui doit être hyper étudié pour pouvoir optimiser ses cartes ! Bref grande surprise et grand coup de cœur.

La version Filosofia n’existe plus mais bonne nouvelle, Renégade doit le ressortir cette année pour Essen ! En plus, ils prévoient une version collector dans une boite en bois !

Perso je vous le conseille vraiment !

Coup de coeur de TruffeAuVent : Through the ages (TTA pour les intimes)

Alors, ce mois-ci c’est du très très lourd.. après plus de 80 parties de Terraforming Mars qui restera gravé comme le coup de coeur de l’été 2018, j’ai cherché un jeu costaud, où l’on va développer notre civilisation. Depuis le temps que j’en entendais parler, j’ai fini par craquer : Through the ages a rejoint ma collection !
La première partie fut un peu déconcertante : pensez vous ! un jeu de civilisation à base de cartes, sans un plateau de jeu où s’étendre et de se déployer ! Mais avec un vrai envie de creuser, de comprendre, bref envie d’investir du temps pour comprendre et voir si ce jeu peut être (dans ma ludothèque) un incontournable.
Le 2ème essai fut du même acabit, avec un peu de longueur avec l’apprentissage des règles, mais toujours avec ce sentiment d’avoir sous la main un vrai bijou ludique.
Alors, pour accélérer la prise en main (et accessoirement palier à l’indisponibilité de monsieur pour cause de travaux), j’ai investi en parallèle dans l’application sous android (dispo aussi sur iOS)…
Waou : Quelle claque !!!
Vous avez donc une civilisation à développer en 3 âges qui ont tous un nombre de cartes associées. Il y a un âge de mise en place et un âge 4 qui clôture la partie.
Tout passe par des cartes : vous avez des cartes pour construire des bâtiments ou des unités militaires, des merveilles, des cartes leader (celui-ci sera donc potentiellement votre chef avec un bonus qui lui est particulier), des cartes bonus. Il y a également des cartes « politiques » qui donneront lieu à des événements particuliers, des pactes de paix entre 2 civilisations, …

Ce qui semble déroutant dans un premier temps : l’absence de plateau de jeu, finalement ne pèse pas du tout sur le jeu. Il y a 2 ressources principales : la nourriture et la pierre qui vous permettront respectivement de recruter ou de construire des bâtiments. Une ressource savoir sera également produite pour construire des bâtiments spécifiques ou utiliser pour changer de gouvernement. Il faudra également veiller à produire de la « joie » pour ne pas avoir d’ouvriers mécontents et risquer une révolte.
A un tour de jeu, vous aurez un tour politique, puis un tour d’actions civiles. Les actions civiles sont limitées selon votre type de gouvernement et vos technologies développées. Elles vous permettent notamment de prendre des cartes en main, de jouer des cartes, de recruter des ouvriers, de construire des bâtiments.

Au fil de la partie, vous pourrez produire des points de culture, qui sont des points de victoire. On joue toutes les cartes de chaque âge avant d’arriver à la fin de la partie.
Pourquoi un coup de coeur ? quelques idées pour cela : d’abord, il y a une vraie progression dans sa civilisation qui grandit, qui construit des merveilles. Ensuite, il y a une pression permanente avec les autres joueurs, je pense qu’il ne faut jamais négliger les aspects militaires. Comme dirait l’autre « Si vis pacem ,para bellum ». Vous êtes obligés de surveiller ce que font les autres joueurs. Et enfin : ce n’est pas un jeu « jetable » ! il faudra investir du temps, comprendre vos erreurs et petit à petit pour pouvoir progresser petit à petit…

Coup de coeur de Gégé : Layers

Sorti chez Happy Baobab, Layers propose aux joueurs de reproduire le plus rapidement possible la figure piochée au hasard.

Chaque joueur dispose de différentes figures qu’ils devront mettre dans le bon ordre et dans le bon sens pour respecter la demande.

 

Simple, rapide, très efficace en famille, matériel de toute beauté, édition donc soignée, le jeu est déjà sorti 3 fois en septembre et c’est pas prêt de changer. Alors évidemment, les gamers n’aimant pas ce type de jeux vont tirer la tronche mais force est de constater qu’en famille, avec enfants, ça marche très bien. Je vous laisse avec un photo montage du jeu !

 

Pour ceux qui aimeraient se procurer une boite, rdv à Essen sur leur stand 🙂

 

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