Coups de cœur du mois de Mai 2020

Coup de coeur de GeekLette : Root

2–4 joueurs, 10 ans et +, 60–90 Min
Auteur: Cole Wehrle
Illustrateur: Kyle Ferrin
Editeur: Leder Games (Matagot a fait la traduction)
74,90 € chez Philibert

Le mois de Mai a été très riche… déconfinement oblige… on s’est lâché !!! Maracaibo / The Magnificent / Root…. Imaginez comment choisir un coup de coeur parmi 3 perles ludiques !!!!

Mais quand on vous demande ce que vous avez fait aujourd’hui et que l’on répond qu’on a fait 3 parties de Root… lors d’une aprème jeux, on est forcé de le mettre en coup de coeur.

Root est avant tout un jeu très exigeant en compréhension de sa faction, en game play et en interaction avec les autres factions. Mais quel plaisir ! Quel plaisir de trouver un jeu avec pour chaque faction des mécaniques différentes.

Pour ne pas vous mentir, j’ai joué le Vagabond. 3 fois. (d’ailleurs 4 fois au total). J’ai l’impression qu’il y a forcément une faction qui plaira aux joueurs. Et j’ai adoré le vagabond. N’étant pas fan du contrôle de territoire avec tout les combats que ça engendre selon le nombre de soldats défenseurs et attaquants… Nan, le vagabond, il tire, comme un traître, de loin, avec son arbalète et un de vos soldats est mort ! J’adoreeeeee En contrepartie, nos relations avec les soldats adverses seront hostiles… Donc commencer les hostilités trop tôt dans la partie est plutôt compliqué pour se déplacer sur le territoire (car les territoires des hostiles vous coûtent cher en pas, donc en effort). Cependant, si vous faites « le traitre » trop tard, c’est mort, vous perdrez…

Je suis tellement fan de ce jeu et surtout du Vagabond ! Une course aux points qui mélange gestion et combat avec des appétences différentes selon les peuples. Je ne m’en lasserai jamais.

Les copains ont adoré le culte du lézard. Et il y a plein plein de nouvelles factions fan made à découvrir ! Encore de belles aventures à vivre.

Coup de coeur de Gégé : Destin de voleur

1–4 joueurs, 12 ans et +, 45–90 Min
Auteurs: Konstantinos Kokkinis, Sotirios Tsantilas
Illustrateur: Kinetic
Editeurs: Artipia Games, Taverna Ludica Games, Tesla Games (Super Meeple a fait la traduction)
Boite offerte
36,90 € en VF chez Philibert

Destin de voleur propose un jeu de cartes à faire comboter … mais pas trop longtemps… car plus vous jouerez de cartes, plus vos cartes seront « défaussées » et celles défaussées vous feront marquer des points en fin de partie.

Un article plus détaillé sera probablement rédigé mais voici rapidement les mécaniques du jeu.

5 manches de 3 phases:

  • La phase de draft / planification : on va s’échanger les cartes et en poser plusieurs dans notre futur mais en défausser une seule pour gagner quelques avantages non négligeables
  • La phase de butin : les cartes du futur viennent avec des ressources (indiquées sur la carte), chaque phase nous offre ces ressources, mais en nombre limité selon le numéro de la manche. Chaque carte du futur qui n’a plus de ressources est déplacée vers notre présent.
  • La phase d’action: 2 actions à faire parmi plusieurs: Activer un personnage du présent, activer un événement, défausser des jetons temps pour récupérer des ressources sur des cartes du futur (donc une fois la carte vidée, pareil, elle arrive dans votre présent)
  • La phase de corruption : payez vos pots de vin …. quand on vole, on se fait parfois attraper lol

Important: dans votre présent, vous ne pouvez avoir que 4 cartes personnages et 4 cartes lieux. Si vous y déplacez une 5ème carte, la carte la plus à gauche est mise dans votre passé et n’est plus utilisable (sauf avec une carte spéciale bien sympathique haha)

En quelques jours, nous avons fait 3 parties à deux, à ma demande. J’ai adoré plusieurs choses dans ce jeu :

  • il est accessible à un public casual qui aime jouer aux cartes
  • il est original dans sa façon d’utiliser le passé / présent / futur (dans le futur vous planifiez des cartes, dans le présent vous activez vos cartes, dans le passé, vous y placez les cartes les plus anciennes pour en faire apparaître d’autres dans le présent car le nombre de cartes est limité dans le présent)
  • le jeu propose de jouer nos cartes dans un ordre précis pour que les combo s’éclairent et c’est ni simple ni tordu avec une profondeur qui ne brûle pas vos neurones mais qui est tout de même très appréciable.
  • Parmi toutes les cartes jouées, seules celles qui ne seront plus utilisées et donc défaussées dans votre passé vous feront marquer des points. Mais !!! Vous avez envie de les garder vos cartes !!!!!
  • Heureusement certaines cartes vous feront gagner des PV si vous les activez au bon moment.
  • Le jeu propose 3 types de cartes: les lieux (pouvoir permanent actif si le lieu est dans votre présent), les personnages (possible pouvoir à activer si le personnage est dans votre présent), les événements (one shot qui vous fait marquer quelques points si vous remplissez la condition et que vous activez l’événement depuis votre présent)
  • il y a peu de ressources : 3 basiques + 2 ressources complémentaires (le temps: vous permettant de jouer avec le futur et le danger … des pots de vin vous guettent…)
  • les cartes sont compréhensibles, pas d’iconographie, ici que du texte et on peut pas se tromper du coup.
  • le comptage des points est fluide, rapide, simple !
  • le jeu est rapide. 40 minutes à 2 !

Ce jeu propose un ensemble de choses qui matchent très bien et qui nous font passer un excellent moment quand on veut jouer à un jeu un peu plus stratégie sans perdre de neurones à chaque tour.

Coup de coeur de Mr NeiL: Crime Zoom

1–6 joueurs, 14 ans et +, 60 Min
Auteur: Stéphane Anquetil
Illustrateurs: Ceciilart, Julien Long, Christopher Matt
Editeur: Aurora
12,90 € en VF chez Philibert

Une enquête de Crime Zoom vous propulse à une certaine époque, ici le New York des années 80.

La scène de crime est répartie sur 15 cartes pour former une grande illustration. Pour enquêter rien de plus simple, si sur une carte il y une balle, vous la retourner, et vous lisez les infos, type de balle, empreinte digitale ou non, des prérequis pour aller voir une autre carte dans la pioche indicent… Toutes les infos sont là sous vos yeux !

Pour des raisons évidentes je ne vais pas rentrer dans les détails de l’histoire !!! No Spoil !!!!

Crime Zoom fait partie des jeux d’enquêtes que nous connaissons bien, mais malgré le fait qu’il y ait des cartes, il se rapproche plus d’un Sherlock Holmes que d’un Unlock ou Exit. Point d’énigmes ou de puzzle sur les cartes, mais de la discussion, des hypothèses, autour de la table.

Crime Zoom promet de belles et prenantes discussions pour répondre au mieux au questionnaire de fin de partie, afin d’augmenter votre niveau d’inspecteur.

Nous avons passé un super moment à résoudre cette affaire, émettre des théories, découvrir les très belles illustrations qui vous plongent directement dans l’époque.

Ce que j’ai adoré pour ma part c’est l’épilogue. Stéphane Anquetil, l’auteur du jeu, nous propose à la fin du livret de règles, et en 2-3 pages, un texte qui conclut et explique l’histoire, celui-ci est remarquablement bien écrit et vous file des frissons, enfin c’est ce que j’ai ressenti moi, tellement j’ai été captivé par l’histoire.

Une bonne pioche d’Aurora Games qui a trouvé un format vraiment original pour un jeu d’enquête. Vivement le prochain, et le prochain, …

Coup de coeur de El Stefano…. Concordia VENUS

2–6 joueurs, 12 ans et +, 60–120 Min
Auteur: Mac Gerdts
Illustrateur: Marina Fahrenbach, Dominik Mayer
Editeur: PD-Verlag (traduit par Matagot)
59,90 € en VF chez Philibert

Ce mois-ci le jeu qui a perforé mon petit coeur ludique ne sera autre que…. tadam… Roulements de tambours… CONCORDIA VENUS ! vous saviez déjà avec le titre? ah ben oui…

Bref, j’étais passé à côté de la première mouture pour d’obscures et infamantes raisons que je n’évoquerai pas ici de peur d’effrayer le vénérable quidam moyen peu habitué aux frasques bizarres d’un ludiste impénitent. Mais aujourd’hui, certes attiré fort lubriquement par le postfixe Vénus et toutes les promesses érotiques qu’il évoque, je répare les erreurs du passé.

Je découvre d’abord le jeu en mode classique, c’est à dire compétitif, chacun pour son blase. 5 minutes de règles que même un bègue atteint du syndrome de la Tourette pourrait expliquer avec une aisance de politicien dans son hémicycle (sachant que je préfère largement le premier au second). On pourrait du coup s’attendre à un jeu assez basique mais… Quelle incroyable profondeur, j ‘en suis subjugué. Les tours de jeu sont rapides et même à quatre on ne passe pas la partie à attendre les copains.

Majorité, collection, interaction. Tout y est. Impeccable. ON se demande presque, les gros joueurs experts, comment un jeu peut être aussi puissant avec aussi peu? On me propose d’y jouer en équipe… J’aime pas ça… Déjà que les coop ça me gave… Moi? et là Vir va bien se marrer, les coop, je les joue en solo. Mais bon je tente le coup. Deux contre deux avec interdiction de se parler afin d’éviter une partie de 6 heures (bon elle durera 3h30 mais nous n’avons pas vu le temps passer tellement on s’est amusé). Les premiers tours sont durs pour moi. J’ai du mal à imaginer ce qu’attend de moi mon coéquipier. Je souffre. Puis le temps passe. La mécanique s’huile d’elle-même. Et ce jeu qui était déjà incroyablement profond, se dévoile en une pépite totalement excitante, vibrante, une pépite d’une grande intelligence. Cette configuration par équipe transforme totalement l’expérience du jeu. Ni coop, ni compétitif. Un genre un peu bâtard. Je l’avoue : c’est le kif intégral, le fun total, c ‘est d’la balle, d’la boule, d’la sphère, de tout ce que vous voulez !!! Parce qu’on finit par se comprendre, parce qu’on joue pour soi mais en pensant à l’autre et ça change tout, parce que, parce que… Mais vous n’avez pas le choix !!! Testez ce jeu, laissez-vous avoir, votre univers ludique ne sera plus le même. Bref… Concordia Vénus j’ai bien aimé.

C’était aussi le coup de coeur de Vir

De façon générale, je préfère contredire El Stefano par principe, et par amusement, qu’être d’accord avec lui. Mais comme j’en avais parlé dans l’article consacré à Concordia Venus, il me tardait de tester la version équipes une fois le confinement terminé. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle tient ses promesses. Nous l’avons joué sans communiquer entre nous (enfin presque, certains sont plus bavards que d’autres !) et c’est vraiment d’autres sensations de jeu ! Le côté altruiste et empathique de la partie, le fait de chercher la meilleure option pour les 2, tout en gardant un côté compétitif (il ne peut en rester qu’un… Enfin qu’une équipe), j’adoore et je suis tombée sous les charmes venusiens qui envoûteront pendant longtemps notre ludothèque…

Coup de coeur de TruffeAuVent: It’s a wonderful world

1–5 joueurs, 14 ans et +, 30–60 Min
Auteur: Frédéric Guérard
Illustrateur: Anthony Wolff
Editeurs: La Boîte de Jeu, Origames
A partir de 35,90 € VF chez Philibert

Ce mois-ci, It’s a wonderful world est à l’honneur chez moi ! Dans ma période jeux à base de combos de cartes, je me suis laissée tenter par ce petit nouveau (enfin pas si nouveau que ça finalement).

Après les deux premières parties, j’avoue que j’ai eu un doute… Mais ce jeu a un côté très addictif, grâce à la simplicité des règles et aux parties rapides (30mn environ), ce qui donne envie d’enchaîner.

ET après quelques semaines, j’en suis vite arrivée à 20 parties solo, quelques unes à 2 et surtout une dizaine à 4 ou 5 joueurs ! Tout le monde a été conquis…. J’aime beaucoup le côté épuré du jeu qui se concentre sur une mécanique : mettre en place un moteur de production, pour réaliser un maximum de cartes, avec diverses façons de scorer.
J’aime son univers.

Il m’a fallu un temps pour vraiment rentrer dedans, tellement j’étais focalisée sur la mise en place de mon moteur à ressources (je ne voyais que des cubes de telle ou telle couleur !!). Mais maintenant que je suis plus à l’aise dans le jeu, je trouve qu’il a une vraie identité. Le jeu est aussi agréable en solo (avec des scénarios proposés, basés sur une histoire, une mise en place spécifique et un objectif de score), qu’à plusieurs. J’ai récemment craqué pour l’extension « Guerre et paix » proposant une campagne, rejouable à volonté !

Coup de coeur de BDPhilou : Dreadfleet

2–10 joueurs, 12 ans et +, 1h
Auteur:Phil Kelly
Illustrateurs: John Blanche, Alex Boyd
Editeur: Games Workshop Ltd.
En vente en VF et en occasion car stock épuisé (attention au prix)

Salut les Ami.e.s

Comme vous le savez déjà surement, mon confinement a été très utile, ludiquement parlant. En effet, il m’a contraint à regarder dans la ludothèque plutôt que vers les nouveautés systématiques. J’ai donc redécouvert des jeux qui croupissaient depuis dans années sous un meuble, la boite recouverte de poussière. Dreadfleet, édité par Games Work Shop en 2011 a donc fait partie de cette moisson du souvenir… et quel souvenir !

Avant toute chose, il faut savoir que je ne suis pas du tout « client » des jeux de figs de GamesWork Shop! Warhammer 40.000 est clairement un univers ludique qui m’a toujours impressionné par la densité de ses règles et l’incroyable diversité de l’offre proposée. Difficile de s’y retrouver s’il on n’est pas un tant soit peu guidé.

Bref, lorsque j’ai vu Dreadfleet chez mon vendeur préféré il y a presque 10 ans de cela, j’ai d’abord eu du mal à croire qu’il s’agissait de l’univers de Warhammer : en effet, point de p’tits soldats ou de gros tanks mais à la place 10 navires au design sublime et des décors « piratesques » ! Chaque vaisseau a sa propre personnalité « graphique » avec un niveau de finition jamais atteint à ma connaissance dans un jeu de société !

Car, OUI, Dreadfleet n’est pas vraiment un jeu de figurines comme on les côtoie habituellement : Ici, la boite de base accompagnée de ses scénarii n’est suivie d’aucune extension : il s’agit d’un « one shot ». En tout cas l’idée d’avoir 1 boite = 1 jeu complet, c’est tout de même top pour ce type de jeu !

Par contre, impossible de parler de ce jeu sans « aborder » – jeu de mots ! 😉 – avant tout les deux sujets qui fâchent :

  • Le 1er : Sa disponibilité : Le jeu été vendu 90 euros à sa sortie, il y a 9 ans de cela. Un prix qui n’était pas usurpé au vu du matériel. Aujourd’hui, la boite est difficilement trouvable. De plus, certains prix sont proprement délirants : au moment où je rédige ces lignes, une version du jeu peinte magnifiquement par un professionnel est proposé sur ebay à : 2.400 euros !!!! -Respirez par le nez, ça va aller ! 😉 Il y a des boites à 100 € si on est en capacité d’attendre patiemment l’occasion.
  • Le 2ème : Son temps abyssal de « fabrication » : Clairement, si vous êtes amateur de peinture de figurines, vous en aurez pour votre argent. En effet, le jeu est vendu « en grappes ». C’est-à-dire que tous les éléments du jeu doivent être coupés puis assemblés avec de la colle et -surtout !- peints avec talent. L’investissement en temps pour tout peindre et juste fou. Clairement Dreadfleet est un jeu qui se mérite. Jadis, sur le forum de Trictrac dédié au jeu, CROC en personne parlait d’environ 150 heures pour tout peindre !!!! – Respirez par la bouche, ça va aller ! 😉

Pour ma part, n’ayant pas le centième du talent (en encore moins du temps !) pour peindre tout cela, j’avais préféré déléguer cette tâche à un peintre professionnel : Soclerond! Le résultat, une fois en place, est sensationnel : les photos qui ornent cet article en sont la preuve. (PS : Chérie, si tu lis ces lignes, non, je n’ai pas payé 2.400 euros pour la peinture jeu 😉 ). [GeekLette: alors tu as payé combien? par simple curiosité]

Clairement, Dreadfleet est un jeu qui doit se jouer avec des figurines peintes. Y jouer uniquement en assemblant les navires et les décors mais sans les peindre, revient à regarder un film sans le son : on comprend ce qu’il se passe mais on est moins « dedans ». Si j’insiste sur ce point, c’est surtout pour que vous sachiez que si vous craquez pour Dreadfleet mais que vous ne le peignez pas, vous risquez d’être très déçu par le jeu en lui-même.

Car quel est l’intérêt de ce jeu si l’on fait abstraction de sa beauté hallucinante ?

Il s’agit d’un jeu de combats navals très agréable et assez facile à prendre en main : Ne soyez pas effrayé par les 98 pages (!!!) du magnifique manuel. Il s’agit principalement de textes d’ambiance ou d’illustrations.

Les règles n’ont rien d’exceptionnel : il ne s’agit aucunement d’une révolution ludique mais plutôt d’un jeu assez accrocheur si vous adhérez au système de jeu. Au niveau de l’ambiance, chaque mission fait l’objet d’une mise en place du « terrain » et d’un scénario qui met vraiment les joueurs dans le vif du sujet.

Si vous êtes allergique au hasard des dés, passez votre chemin car celui-ci est assez présent même si à chacune de mes parties, il n’a jamais été prépondérant sur l’issue de l’aventure.

L’aire de jeu est aussi superbe que maline car il s’agit d’une véritable nappe ! Oui, oui, une nappe ! Très grande d’ailleurs (1m sur 1m50 environ…) est superbement illustrée facilement pliable. Son rendu est magnifique.

Bien que l’on puisse y jouer jusqu’à dix joueurs, je le recommande surtout à 2,3 ou 4 joueurs… Exceptionnellement à 6 joueurs mais vraiment pas plus.

Le jeu en lui-même est donc très plaisant : on essaye de remplir une mission en faisant naviguer nos navires tant bien que mal sur une mer très hostile. Mais surtout, à la première occasion, on lance des bordés et l’on aborde ses adversaires. Le tout à grand coup de jets de dés. Pour peu que vous mettiez la musique de Pirates des Caraïbes en fond sonore, vous serez littéralement transporté dans les Bermudes façon Gameworks shop.

Redécouvrir ce jeu a été un véritable plaisir ! Beau à pleurer, simple à jouer et au final assez fun, Dreadfleet est clairement une expérience à part dans ma ludothèque. Si vous avez l’occasion d’y jouer, n’hésitez pas !

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Pipelette & Geek à temps plein

7 Comments

    • Salut!
      Alors attention, c’était il y a 9 ans et je n’ai plus de contact avec Soclerond. J’imagine qu’il exerce encore. Beaucoup de peintres de figs proposent leurs services sur le forum Trictrac. Ca peut valoir le coût de demandé un devis! En tout cas, même après toutes ces années, je n’en reviens pas de la beauté de ce jeu!

  1. Tu m’as fait découvrir Dreadfleet, j’ai trouvé une copie neuve pro-peinte a pas cher (pour du déjà peint 😉 )

    Après quelques mois de travail, test etc..

    Voilà une version (anglais car mon jeu est en anglais) des règles v2.0 pour rendre le jeu plus dynamique !
    La base des règles (v 1.4) existe en français et n’est pas de moi, j’ai juste repris et étoffer pour une v2.0 !

    https://drive.google.com/file/d/14RNWz-9XrCACOTyjbZ-3bVtpKCNVK2o6/view?usp=sharing

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